Le stigmate du pied-plat


L'impermanence n'est pas un rêve

Et puis le stigmate du rat,
Du cafard, du pied-plat…
Moi je diverchiffie, sans la gerbille,
La fermentation du coup je distille,
Et ça te fais un tord-boyau, mon ami !
C’est pas non plus le paradis.
Je t’en collerais, des pieds dans le plat,
Des cicatrices, des langues de chat,
Des torpilles et des poissons fats,
Des visse-bonnets un peu plus droits.
N’empêche l’avait bien mérité,
Juste il avait trop dépassé,
Le mur du fond et du requin,
L’avait éclaté son tympain,
D’avoir ourdi le mur de Lourdes,
Sans penser qu’il était pas courge,
Mais tête brûlée tant est difforme,
L’œil du vautour qui le dégomme.

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